Il est parfois bon de sortir un peu des tourments qui agitent notre corporation pour aller se frotter à d’autres personnalités, d’autres enjeux, d’autres talents.
L’écrivain Amin Maalouf (prix Goncourt 1993) m’a demandé de cogiter avec lui sur un blog. L’idée le travaille depuis un moment déjà. Le saut dans l’inconnu l’effraie un peu mais la volonté d’expérimenter a tout emporté. Jetez-y un coup d’oeil. J’en reparlerai dans quelque temps.
juste pour voir comment ça marche
Amin MAALOUF : vous écrivez votre prénom à l'anglaise et votre nom à la française : pourquoi ? Vous savez bien qu'ainsi Amin sera prononcé "Amain" par les francophones… Soit que vous transcriviez le tout à l'anglaise :
Amin Maaluf (ou Maluf), soit à la française : Amine Maalouf.
Denis NEHMÉ, Montréal, Canada.
Ah mais pas du tout, je le prononce comme je pense qu’il se prononcé dans son pays. Faut pas nous prendre pour des truffes.
J'attends la réponse !
Bonjour
J’ai eu l'occasion de lire Samarkand à l'âge adolescent, et on révisant ma vielle bibliothèque cette semaine, j’ai eu le grand plaisir de le relire et d’en voir les choses qu’on ne peut pas voir quand-t on est adolescente !!!
Seulement j’aimerai le partager avec mon mari, qui est espagnole et ne comprend rien à la langue française…
Existe-il une traduction pour ce roman ???
Bonjour,
J’avais peiné pour trouver ce blog, et j’espère que mon message parviendra aux bonnes oreilles.
Bref, je me présente : je suis un étudiant doctorant en littérature française en Algérie, après avoir travaillé sur G. Flaubert en thèse de magister, je me suis penché sur vous, oui vous qui êtes pour moi une idole. Je voudrais travailler sur votre dernière publication : Le dérèglement du Monde. J’ai trouvé un thème, j’aimerais bien l’en discuter avec vous afin d’éclaircir quelques notions.
Je ne suis pas de ceux qui jettent des fleurs pour arriver à leur s fins, vous un écrivain de renommée internationale et vous ne voulais certainement pas des fleurs, vous en avez assez. S’il vous plait, je voudrais travailler sur votre publication car je considère que cela vaut vraiment la peine. A un moment donné, j’ai entamé même une traduction de votre ouvrage : Les identités meurtrières pour que le lectorat algérien puisse le lire. Je me suis dit qu’il faut le rendre accessible pour tout le monde afin que cesse ce qui est en train de se produire dans ce pays qui est le mien.
Bien à vous.
Voilà mon mail : [email protected]
Bonjour,
Je viens de finir Les désorientés. J’ai adoré et vos écrits sur les religions m’ont passionnés.
Cependant la fin est rude. Est ce une métaphore sur l’état du monde qu’au moment où l’on croit que tout peut se finir bien, tout dégénère ? Pas d’espoir ?