Ni Tristan, ni Alban ne se revendiquent journalistes. Leur initiative mérite pourtant qu’on y prête attention comme je l’avais déjà signalé. Leur position de reporters télécommandés tente de renouveler la question difficile du rôle de médiateur des grands reporters dans une crise internationale lointaine. Comment faire percevoir au public qu’il se passe là-bas des événements importants sur un plan humain mais également géopolitique.
Bonne chance à eux.